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Cher membre du Club,

Un nouveau décret présidentiel vient de tomber à la Maison-Blanche et il vous concerne directement en tant qu’investisseur particulier.

Son nom : Mission Genesis.

C’est une initiative nationale pour accélérer les recherches dans le domaine de l’intelligence artificielle.

Traduction : un signal politique majeur pour le marché de l’IA.

C’est le Projet Manhattan de l’IA. 

Et je n’extrapole pas, ce sont les mots utilisés par la Maison-Blanche pour présenter le projet : 

“Les défis auxquels nous sommes confrontés exigent un effort national historique, d’une urgence et d’une ambition comparables à celles du projet Manhattan, qui a joué un rôle déterminant dans notre victoire lors de la Seconde Guerre mondiale…”

Concrètement ?

Donald Trump ordonne au Département de l’Énergie, aux laboratoires nationaux, aux plus grandes universités américaines, et aux entreprises de l’IA…

… de propulser les États-Unis à la tête du secteur de l’IA par tous les moyens disponibles.

En arrière-plan, ce décret cache une réalité qui inquiète Washington :

La Chine accélère plus vite que prévu dans l’IA, avec des coûts plus faibles et une structure de décision plus simple.

Mission Genesis est la réponse.

L’arme stratégique. Le pari gigantesque pour ne pas perdre le contrôle du XXIe siècle.

Et ce décret peut déclencher un choc boursier immense…

Les marchés n’ont pas encore réagi, mais l’histoire est formelle :

La politique américaine a toujours piloté les marchés boursiers :

En 1933, en pleine Grande Dépression, Franklin Roosevelt lance le New Deal.

Des milliards sont injectés dans les routes, les ponts et les barrages, dopant tout le secteur des infrastructures.

L’entreprise U.S. Steel profite de la hausse de la demande en acier : son action fait +300 % entre 1933 et 1937.

Caterpillar, pilier des machines de construction, son action grimpe de +250 % sur la même période.

En 1960, au cœur de la guerre froide, l’Amérique investit massivement dans la conquête spatiale avec le programme Apollo.

Boeing et Lockheed Martin décrochent des contrats gigantesques.

Résultat : entre 1960 et 1969, l’action Boeing bondit de +470 %, celle de Lockheed Martin de +320 %.

Ces entreprises deviennent les piliers de l’aérospatiale et de la défense.

En 1996, Bill Clinton déclenche une autre révolution avec un décret : le Telecommunications Act.

Ce texte fait tomber les barrières entre télécoms et Internet.

C’est le décret qui permet la naissance de l’Internet moderne…

Et surtout l’ascension future des GAFAM.

Sans ce texte, le monde numérique actuel n’existerait pas.

En 2019, un nouveau décret, l’executive order 13859, libère l’IA.

Des milliards sont soudain injectés dans les technologies clés :

Les puces (Nvidia), le cloud (Amazon Web Services), et toute l’infrastructure qui soutient l’intelligence artificielle.

C’est ce décret qui déclenche l’un des cycles technologiques les plus explosifs de l’histoire récente.

Et maintenant ?

Mission Genesis est d’une ampleur encore supérieure…

Ce décret va créer une demande colossale dans 4 secteurs :

1. Celui de la puissance de calcul (les puces, les supercalculateurs) ;

2. Celui de l’énergie (le nucléaire, le solaire, etc.) ;

3. Celui des infrastructures (les data centers) ;

4. Celui des logiciels et de modèles d’IA.

Ce décret crée des dizaines d’opportunités boursières.

Et comme en 1933, 1960, 1996 et 2019… Les premiers positionnés feront les plus gros gains.

Mission Genesis marque un tournant…

La phase 1 de l’IA a été dominée par Nvidia.

La phase 2 sera dominée par les infrastructures et les matières premières stratégiques.

Des entreprises que le grand public ne regarde pas.

Des entreprises qui pourraient devenir les Nvidia de demain.

À très vite,

Felix Baron